Cette association, l'une des plus utiles de notre pays, faut il le rappeler, à publié son budget dernièrement.
Le voici et c'est éloquent:
Budget ressources 2010: 3 007 712 euros
Dont argent venant directement de l'état: 2 017 055 euros
Soit un financement de 67 % venant de nos impôts.
Les 67 % se décomposent ainsi: Subventions du ministère de l'environnement: 1 142 500 euros
A.D.E.M.E. : 168 656 euros
Autres subventions publiques: 261 910 euros
Aides à l'emploi: 55 632 euros
Partenariats: 388 357 euros
les reste des 33 % correspond à:
Cotisations: 45 013 euros
Contentieux: 100 192 euros
Mécénat entreprise: 583 950 euros
Legs grand public: 197 647 euros
publications: 34 423 euros
Divers: 29632 euros
Si France Nature Environnement devait seulement vivre des cotisations de ses membres et de ses ventes, elle disposerait de 109 068 euros contre 3 millions d'euros, soit trente fois moins.
Je suggère donc aux entreprises mécènes pour 584 000 euros ( qu'en est il de la part de Total ou de Monsanto la dedans?) de donner cet argent à leurs ouvriers pour qu'ils puissent avoir une meilleure vie dans cette période de crise ou alors aux restaurant du coeur pour donner à manger au milliers de gens qui souffrent de ne pouvoir s'alimenter correctement au lieu de payer les cocktails de FNE.
La partie contentieux est aussi intéressante:
100 000 euros par an en moyenne. Une pollution et FNE et consorts se portent partie civile et empochent le pactole, mais cet argent est il redistribué aux communes ou aux victimes physiques ? Non, elle se le goinfre.
C'est scandaleux et aucun média national ne dénonce ces excès, tous préfèrent taper sur les chasseurs et les piégeurs, c'est plus facile.
En cette période de Noël et de vœux pour la nouvelle année, je souhaite que tous, usagers de la nature, nous posions la question de l'utilité de ces associations bouffe-pognons. Lorsque vous voterez pour la présidentielle puis pour les législatives, posez la question au politiques et sanctionnez par votre vote ceux qui engraissent les ayatollahs verts.
Credere ac audere